VOUS :Prénom : Mei.
Age : 18 ans.
Loisirs : Se promener, manger, cuisiner, faire plein de sport, faire n’importe quoi.
Statut social : Etudiante.
Autres : Je ne suis pas trop connectée, mais je me contente de satisfaire le fantasme d'un admin alors bon...
Comment vous avez connu le forum? : Par un jeune homme...
Votre Personnage :Nom :
Prénom : Ximei.
Age : 19 ans.
Métier : Cuisinière.
Physique : Ximei mesure ~1m74 et pèse ~59kg, elle a une abondante chevelure auburn qui descend jusqu’à mi-cuisse. Elle est relativement fine et élancé et a des formes bien définies mais pas extrêmement développées. Elle a de longs cils et une opale dans le front, entourée de deux lignes tatouées de la même teinte.
Son corps est incroyablement souple et laisse entrevoir une musculature subtile. Et ses yeux luisent toujours d'une lueur étrange, comme si elle était constamment sous l'effet d'une drogue.
Elle porte généralement des vêtements pratiques mais élégants comme de longues robes chinoises fendues des deux cotés et est toujours pieds nus.
Caractère : Elle est insouciante, nonchalante et surtout totalement rêveuse. Le trait de caractère le plus caractéristique de Ximei est sans conteste son inattention et sa mémoire très sélective. En effet, elle ne retient presque que ce qu’elle trouve amusant et mélange le reste.
Elle se donne une image de fille superficielle et toujours décalée, même en plein combat, mais elle est, en réalité, loin d’être aussi stupide qu’elle n’y paraît.
Elle déteste la monotonie, le travail et les choses sucrés...
Passé : Ximei est originaire du Laos. Née dans un petit village de montagne, elle faisait preuve d'une grande énergie, mais d'un caractère trop instable et elle passait le plus clair de son temps à se dépenser, sans pour autant servir à l'intérêt du village. Elle disparaissait pendant plusieurs jours du village et rentrait l'air de rien et à l'improviste, portant parfois des blessures suites à des accidents.
Apeurés et décontenancés par cette enfant turbulente, ses parents, avec le soutien des villageois, l'envoyèrent à un temple bouddhiste pour que les moines lui fasse prendre une voie vertueuse ou l'exorcise s'il y a lieu. Le temple accepta de se charger de la jeune fille et eut le plus grand mal à la faire étudier, mais au contraire, ils en firent une bonne pratiquante d'art martiaux. Pourtant, trop distraite, elle ne retint que peu les enseignements de ces maîtres, néanmoins, en comprenant le principe, elle développa une technique à priori totalement incohérente, mais gracieuse et très efficace. Le plus étonnant était alors le détachement dont elle faisait preuve, comme si elle continuait à rêvasser tout en terrassant les plus habiles des combattants du temple. Interloqué et agacé par cette jeune fille qui semait le trouble dans son monastère, le Supérieur fit appel à une caste de moine guerrier vivant en pleine jungle et recherchant la pureté de leur art en s'imposant une vie d'ermite, de prendre avec eux cette fille à l'âme trouble.
La none qui vint voir Ximei reconnut en elle une exaltée, cette particularité si rare qu'elle pensait n'être qu'une fable provenant d'anciens récits guerrier. En effet elle vit sans peine qu'elle semblait constamment sous l'effet d'une drogue et que sa façon de se battre indiquait clairement des perceptions différentes de celle des hommes.
Intéressée par un tel potentiel et une telle richesse de style, elle s'empressa de la prendre en charge et l'entraîna à sa suite dans la jungle. Ximei y apprit à vivre et à s'entraîner durement sous l’œil de son tuteur et maître. Celle ci cherchait tant bien que mal à comprendre la différence de sa jeune élève mais elle n'y parvint pas et le manque de clarté que Ximei donnait à ses réponses ne l'aidait pas plus.
Selon les textes les exaltés pouvait atteindre une pureté martiale qu'elle n'avait jamais atteinte, trop âgée à présent, elle tentait de donner à son élève la possibilité d'exploiter au maximum ses capacités et d'ouvrir réellement son âme à son pouvoir. Trop mal renseignée, elle ne sut comment s'y prendre, mais Ximei, elle, prenait peu à peu conscience de son corps, au delà des perceptions normales d'un être humain, tandis que celui ci se stabilisait et prenait sa forme définitive. Accédant à une plus grande maturité, elle prit conscience de ses différences suite au retour à la civilisation qu'elle effectua avec son maître et s'appliqua à synchroniser son esprit et son corps, jusque là trop discordant, pour ressentir une harmonie naturelle plus grande.
Cela lui prit du temps, d'autant qu'elle devait apprendre à être une femme, à vivre en communauté, à lire et à écrire, tandis qu'elle recherchait l'harmonie de son être. La none qui était devenu sa mère adoptive et qui l'avait entraînée et éduquée mourut alors que Ximei avait 16 ans. Devant subvenir seule à ses besoins et avide de découverte, Ximei commença à voyager au delà des frontières de son pays, usant de connaissances en herbes médicinales et en cuisine pour obtenir de quoi manger et dormir.
Elle découvrit des paysages nouveaux, des vices et des bonheurs inédit et vécut au jour le jour. Mais l'errance finit par lui peser et elle décida de faire un tout dernier voyage en direction du Japon, où, disait-on, il y avait tout ce que l'on voulait à condition de pouvoir se l'offrir.
Elle réussit à y parvenir en compagnie d'un amant japonais qui l'introduisit à l'université en tant que cuisinière. Elle rompit peu après avec son amant trop faible à son goût et s'installa dans une routine quotidienne dont elle n'était pas coutumière.
Pouvoir : Ximei est une exaltée, c'est à dire qu'elle est liée au monde différemment des autres êtres humains. D'ailleurs, les fondateurs des Maryudos et des Kiryudos étaient des exaltés. Ximei, elle, s'est liée aux espèces végétales, notamment l'utriculaire du Laos qui est une plante carnivore aquatique piégeant ses proies dans un entrelacs de filament et qui pousse et se régénère rapidement.
Ayant appris à user de son corps comme une utriculaire, Ximei peut utiliser tout son corps (y compris ses longs cheveux et ses ongles qu'elle peut faire pousser à sa guise) avec une grande souplesse et même l'étirer temporairement. Très vivace et agile, elle a des perceptions provenant de tout son corps et analysant le moindre déplacement d'air autour d'elle.
La grande capacité de régénération de la belle plante qu'elle représente se retrouve aussi chez elle et son sang est un puissant anesthésiant par contact. Il suffit qu'il soit en contact avec le corps d'une personne pour s'infiltrer lentement sous sa peau, donnant une sensation de froid intense tout en engourdissant progressivement la zone touchée. De cette façons, son sang tend à améliorer la récupération du corps, mais à haute dose, il s'avère trop puissant et fait chuter trop brutalement la tension de la victime.
Animal de compagnie : Des hommes... Parfois