L'hopital...

Ban courait toujours, il savait que le jeune femme le suivait. Les gens se retournaient sur le passage de cet homme rasant les murs vêtu d'un sweat noir se soulevant parfois et laissant voir ses muscles. Mais il allait trop vite pour qu'on puisse le discerner totalement. Il courait dans Shinjuku, et bientôt il vit son appartement...
Il arriva sur le palier et poussa la porte...

[Ban appartement ]

Lorsque cette pression abominable était partie, Mystère reprit ses esprits et vit qu'il n'y avait personne dans la chambre il se remémora un peu la scène mais impossible de savoir où ils ont pu aller. Il alla donc pour sortir de cette chambre mais tomba malencontreusement au moment de passer la porte, c'était comme une sorte de fil et se senti partir en avant, la chute fut très drôle pour les hospitalisés qui l'avait regardé.

Lorsque qu'il se releva, Mystère voyait petit à petit devant lui une infirmière très jolie qui regardait si il ne s'était pas blessé puis elle regarda derrière son épaule et ne vit pessonne dans la chambre.

"Monsieur ce n'est pas bien de quitter votre chambre maintenant nous viendrons lorsque vous serez guéri."

"Hein quoi ? Euh vous vous êtes trompé de personne c'est quel..."

"Monsieur il faut m'écouter, c'est pour votre bien que je fait ça."

Mystère sentait la situation s'envenimer il regardait près de la porte et vit un garçon ou une femme assit sur le banc. Mais à peine eut il vu cette personne que deux infirmières en renfort étaient venues pour aider celle déjà devant lui. Mystère se demandait comment il était arrivé dans cette situation désespérante.

"Arg au secours c'est pas moi celui qui était dans cette chambre. Vous à coté, vous les avez vu partir les deux tourteraux n'est-ce pas ?"

La personne ne répondit pas, elle ne voulait probablement pas être impliquée dans ce mal entendus tandis que les trois infirmières redoublèrent de force pour emmener Mystère dans la chambre et lui se tenant de toutes ses forces au mur en essayant d'expliquer aux trois filles qu'elles avaient mal comprises.

"Monsieur votre état va empirer, il vous faut du repos lors tenez vous tranquille."

"Monsieur ou mademoiselle à coté s'il vous plait aidez moi et vous trois je vous dit que c'est pas moi qui était dedans."

Essayant à tout prix de résister il fixait désespérement cette personne pour qu'elle lui vienne en aide. Il aurai bien aimé retrouver l'infirmière de la réception elle était gentille et elle aurait compris que c'était pas lui l'hospitalisé.

*Mon Dieu dans quel galère je me suis fourré je sens que c'est pas mon jour sniff pitié faite que je me réveille elles sont folles ces infirmières.*

Décidement, l'art de Kazuki se perdait. Cela faisait 2 foid en quelques minutes qu'il venait de se faire reperer. Certainement qu'il y aurait des choses à reprendre. Mais toujours est il que, même s'il était repéré, personne n'avait deviné ou meme soupconné qu'il s'agissait de lui.
Néanmoins, Ban était tout de meme partit et ce la le contrariait un peu. Il se préparait a le suivre lorsque le second homme qui était dans la chambre sorti a son tour et se prit les pieds dans un de ses fils.

*Mais c'est pas mon jour aujourd'hui*

Une infirmière accourait déja pour tenter de le ramener dans la chambre, alors que manifestement il n'en avait pas besoin.

"Monsieur ce n'est pas bien de quitter votre chambre maintenant nous viendrons lorsque vous serez guéri."

"Hein quoi ? Euh vous vous êtes trompé de personne c'est quel..."

"Monsieur il faut m'écouter, c'est pour votre bien que je fait ça."

En son fort intérieur, Kazuki s'amusait de la situation. Déja 2 autres infirmières arrivaient en renfort de la première. Il se débattait mais elle l'entrainait inexorablement vers la chambre.

"Arg au secours c'est pas moi celui qui était dans cette chambre. Vous à coté, vous les avez vu partir les deux tourteraux n'est-ce pas ?"

Kazuki n'avait pas envie de se meler de ça. Il avait d'autres chats a fouetter et Ban courrait très vite. Il se doutait que ce dernier irait vers son appart mais il pouvait en repartir avant que Kazuki n'arrive.

"Monsieur votre état va empirer, il vous faut du repos lors tenez vous tranquille."

"Monsieur ou mademoiselle à coté s'il vous plait aidez moi et vous trois je vous dit que c'est pas moi qui était dedans."

L'homme le fixait desespérément tout en essayant de plaider sa cause auprès des infirmières. Kazuki hésitat un moment mais finalement il se désinteressa de la chose. Problement trouvait-il que ce personnage était douée de suffisamment de ressources pour s'en sortir seul. Toujours est-il qu'il se leva et qu'il s'en fut calmement comme si rien ne s'était passé.
Une fois dehors, il s'arreta quelques instants, d'uner part pour réfléchir a ce qui pourrait bien arriver, et d'autre part, pour retirer ces fils qui, bien que pratiques, lui faisait quand meme mal.
Une fois cette formalité effectuée, il s'en fut calmement mais néanmoins rapidement vers l'appartement des gets backers.

>> Appartement des Gets Backers

Malgré une tentative pour ne pas être séquestrer dans la chambre de Ban, Mystère fût tout de même ligoté sur son lit prenant des médicaments infectes toutes les deux heures, la seringue monstrueuse de l'infirmière qui lui plantait le bras pour ne pas recommencer à s'échapper lui donnait la folle envie d'assomer cette infirmière et le discours du docteur qui était compétent mais sûrement mal voyant puisque le dossier de son patient n'était jamais le même à chaque visite et toujours en disant "Cela ne s'arrange pas." lui faisait traverser une idée de mort dans la tête de Mystère mais le docteur était toujours confiant en observant son visage.

*Ban tu vas regretter ton geste grr.*

regardant par la fenêtre de temps en temps pour voir le beau temps qu'il aurait pu profiter, Mystère vu à ce moment un avion en papier qui atterissait juste à coté de son lit et qui était passé par la fenêtre de sa chambre. Le petit garçon de la chambre juste à coté de la sienne cogna à la porte et vint chercher son jouet ne remarquant même pas Mystère puis repartit refermant la porte derrière lui.

Il eut une idée pour sortir de sa chambre et appela la jolie infirmière qui l'avait injustement enfermé et demanda à celle-ci si il pouvait avoir du papier et un crayon jurant de ne pas se sauver une fois les mains déliées.

*Je vais envoyer ça au Tonky Honk et demander à un récupérateur de venir me récupérer comme ça au moins je serais libre ensuite pour Ban on verra plus tard.*

Une fois la lettre finit, il la donna à l'infirmière pour envoyer au bar son message et comme elle l'aimait bien, elle lui offrait le timbre. Mystère était content, il allait enfin pouvoir partir de cette hopital remplit de cinglés qui séquestre les honnêtes gens pensait il Mais il devint livide, c'était l'heure du perforage de bras et il priait pour que cette satanée seringue ne lui fasse pas mal cette fois-ci.

Un bon petit moment c'était passé entre la remise de la lettre à l'infirmière et aujourd'hui et Mystère en avait marre de tourner dans ce lit qui lui servait à rien il aurait pu au moins travailler pour gagner un peu d'argent même si cela ne lui manquait pas trop en ce moment. Il décida d'enlever toutes les choses suceptible de le gèner pour sortir de son lit et regarder discrètement dans le couloir de l'hopital.

Personne au alentours, un bon point pour s'échapper rapidement. Il fila a toute alure dans le couloir ignorant tout le personnel et malade et évitant le lus d'infirmière possible qui ne voulait pas le lacher il était le patient publique numéro un dans l'hopital. a pein arrivé au bout de l'escalier, il fut repéré.

*Cela s'anonce mal très mal faut que je me dépêche je sens déjà qu'on me poursuit.*

Presque arrivé à la sortie deux infirmières était juste devant elles l'attendaient. Mystère ne voulant pas trop recourir à son pouvoir essaya d'élaborer en vitesse une petite stratégie. Deux autres infirmières étaient derrière lui il allait devoir sortir le drapeau blanc. il arrivait au centre des quatres infirmières prêtes à bondir sur lui pour le remettre dans sa chambre. il voulait régler ça avec diplomatie et surtout pacifiquement vu la violence des jolies filles et le dialogue commença.

"Mes demoiselles je vais vous le dire une seule fois après vous me reverrez plus du moins cette semaine là. Je ne suis pas blessé ni malade et je n'ai pas besoin de repos ou de médicaments vous vous êtes trompé de personne."Dit-il en souriant, les mains dans les poches et ne bougeant pas d'un cheveux.

"On ne veux pas le savoir tu vas rester gentiment dans cette hopital coûte que coûte sinon tu vas avoir mal."Toutes aussi souriantes avec un petit air d'assurance Mystère ne savait pas pourquoi tant d'attachement à lui. Soudain une autre infirmière beaucoup plus jolies que les quatres autres arrivait c'était comme celle qui l'avait rencontré la première fois.

"Désolée de t'avoir retenu aussi longtemps ici je ne voulais pas que tu parte alors j'ai demandée aux autres de te séquestrer tu me pardonne ?"

"Euh oui mais pourquoi ne voulais tu pas que je parte ? Je n'ais pas compris mais même si tu me force encore à rester je m'en vais quand même."

"C'est ce qu'on va voir on va pas te laisser partir surtout quand tu es si proche de la sortie."

Mystère alors malgrés sa réticence, fit agir son pouvoir sur les infirmières et partait lentement peu à peu vers la sortie ne sachant pas de quoi elles étaient atteintes, elles se regardait sauf la dernière qui pleurait le regardant partir.

Il avait un peu de regret à laisser celle qui s'était attachée un peu trop à lui mais il en pouvait pas rester avec qui que ce soit il devait errer seul et allait vers le Tonky Honk pour décompresser un peu.

[Shizuka, Kazuki et Ban à l'hôpital].
(Je laisse la parole soit à Ban soit à Kazuki, dans l'état de mon perso MRD).

[[Désolé du retard.]]

Ban conduisait rapidement mais apparemment il avait conscience de ce qu'il faisait et ne prenait pas de risque incensés. Il roulait vite, mais prudemment.
Kazuki était assis a l'arrière, avec Shizuka allongée sur ses genoux. Il sentit une petite gène, mais il se dit qu'il devait penser à autre chose. Il se demandait si son intervention avait été bénéfique. Elle lui avait sauvé la vie a court terme, mais il n'avait aucunement l'expérience, ni le recul d'un medecin qualifié. Pendant un moment, il avait pensé emmener Shizuka dans le Mujengo où toutes les blessures cicatrisaient plus rapidement, mais il avait fini par y renoncer. l'endroit était bien trop dangereux pour y ammener un blessé. De plus il ne savait comment elle réagirait dans cet environnement si particulier.
La subaru de Ban fini par arriver devant l'hosto. Kazuki sortit alors du véhicule, prenant bien garde de ne pas trop secouer la jeune femme, puis pris la direction de l'acceuil des urgences. Une fois à l'intérieur, il interpella une infirmière.

-Mademoiselle, s'il vous plait. Nous avons un blessé grave dans la voiture juste dehors.

-Quel type de blessure ?

-Euh... Elle a une cote brisée et un long coup de couteau le long de cette cote.
J'ai réduit la fracture mais je ne pouvais guère faire mieux.

L'infirmière s'éloigna alors vers le téléphone interne le plus proche. De la elle appela le medecin de garde, qui arriva quelques instants plus tard. Kazuki lui fit signe de le suivre dehors avec les trois infirmiers qui l'accompagnait, munis d'un brancard. Le personnel de l'hopital mit la jeune fille sur le brancard et repartit vers le batiment.
Kazuki voulu les suivre, mais, alors qu'il essayait de penetrer dans la salle d'op, il fut rejeté. Il s'assit alors sur un banc à coté, innatentif à toute présence extérieure.

Ban s'assit a côté du Tisseur et sans plus de ménagements il s'alluma une cigarette, hopital ou pas Midô Ban allait fumer. Il expira la fumée par les narines et regarda le Tisseur, généralement son regard suscitait un certain malaise mais là Ban voulait vraiment le sonder. Il murmura d'une voix rauque.

Dis...La fille là...elle te laisse pas indifférent tu sais...

Il tira sur sa cigarette.

...Ca se voit dans ton aura...elle change comme la mienne quand je vois Reira...Alors je me trompe ?...

Il ne lui en dit pas plus et attendit qu'il réponde, il n'était pas du genre a se tailler une bavette avec un ancien pote de Ginji, surtout celui là, un peu trop proche a son goût alors il se tut et attendit que le Tisseur prenne la parole. Ban ne se sentait pas à l'aise dans cet environnement, trop enfermé pour lui. Il soupira, le couloir puait la clope. Il murmura a nouveau :

Si tu veux pas me répondre...je me casse...j'ai quelqu'un qui m'attend maintenant...

Mystère ayant un peu trop attendu dehors du Tonky Honk s'était un peu assoupi. Il vut Ban, l'appentit chirurgien et la blessé à son réveil partir dans une subaru sûrement en direction de l'hopital il avait pas le temps de monter dedans il utilisa une ruse pour être de la partie sans qu'il s'en apercoivent.

*hum soit je m'accroche au toit ce qui est assez risqué soit je m'accroche en dessous ce qui est encore plus risqué et ça va être difficile d'être accrocher derrière si on me remarque le taré auè volant va essayer de me faire lacher sa caisse je dois faire vite.*

La voiture s'en alla rapidement sur la route en direction de cette hopital de taré dont Mystère se rappelait.
Une fois arrivé tout se passait vite l'homme au grelot dans les cheveux arrivait vers la voiture avec 3 infirmier il avait fait vite pour aller à l'acueil et prévenir l'infirmière. Ensuite Ban l'accompagnait avec un aire prestigieux comme il a l'habitude de faire. une fois arrivé, ils étaient tout les deux assis sur un banc à coté de la salle d'opération et Mystère s'assis sur la dernière place juste à coté de Ban et celui-ci le dos tourné à lui parlait à cette homme aux grelots. Il venait d'arriver en cour de discussion pour ne pas se faire remarquer par les employés de la gente féminine.

"Si tu veux pas me répondre...je me casse...j'ai quelqu'un qui m'attend maintenant..."

Ban avait l'air un peu énervé au ton de sa voie peut être parce que l'homme aux grelots ne répondait pas en tout cas il ne voulait pas attendre que le jeune fille se rétablisse il voulait sûrement rejoindre la fille qui était dans le bar et qui à première vue l'appréciait énormement.

"Vous allez pas partir maintenant tout de même, il y a quand même une vie en jeu il ne faut pas la laisser toute seule la pauvre."

Mystère vit les deux hommes qui étaient vraiment étonné qu'il soit la vue sa rapidité pour venir ici avec la grande distance qui séparait le bar de l'hopital mais ils ne savaient pas qu'il avait pris la même voiture qu'eux dailleur il y avait quelques marques sur ses bras qui montrait bien le risque qu'il avait couru. Les trois hommes attendaient que quelqu'un se prononce ils en avaient hâte car l'opération durait avec cette inquiétude qui augmentait au fûr et à mesure de l'attente.

Kazuki regardais au fond de lui même pour essayer de comprendre ce qui se passait. Il ne réagissait absolument pas comme d'habitude.D'ailleurs, en temps normal, il se serait contenté d'observer la situation et ne serait pas intervenu le moins du monde. Mais là, quelque chose l'avait poussé à agir, et du coup il s'était embarqué dans une affaire qu'il aurait éviter s'il ne s'était pas agit de cette fille. Enfin, était-ce vraiment la raison ? Kazuki avait des doutes mais il hésitait encore. il écoutait encore son coeur battre lorsqu'il se rendit compte que Ban lui parlait.

Dis...La fille là...elle te laisse pas indifférent tu sais...

...Ca se voit dans ton aura...elle change comme la mienne quand je vois Reira...Alors je me trompe ?...

Kazuki était encore plus perplexe. Que Ban le perce à jour aussi facilement le démangeait. Mais en même temps, cela le rassurait sur ses propres sensations.
*Je ne me trompais donc pas.*
Il allait répondre lorsqu'un troisième homme, qu'il n'avait pas vu arriver mais qu'il avait vu au Bar, pris la parole soudainement.

"Vous allez pas partir maintenant tout de même, il y a quand même une vie en jeu il ne faut pas la laisser toute seule la pauvre."

Il était étonné mais il n'y pris plus garde. Il reprit sa reflexion un moment, puis se tourna vers le Serpent, toujours en train de fumer sa clope.

-Ca ce voit tant que ça ? Ecoute, je n'aime pas te donner raison. Mais pour une fois tes conclusions concordent avec les miennes. Oui elle ne me laisse pas indifférente, mais je suis avant tout intrigué. Est-ce que par hasard tu la connaitrais ?

Kazuki se leva et se mit à faire les cents pas devant la porte de la salle.
*Mais qu'est-ce qu'ils font.*
Cela faisait un moment maintenant qu'il l'avait emmenée.
Le chirurgien finit par ouvrir les portes de la salle, kazuki se dirigea alors vers lui en lui posant la question classique dans ces cas là.

-Alors ?

-Elle va s'en tirer. Quelques jours de repos et il n'y paraitra plus.
Qui s'est occupé des premiers soins ?

-Euh... C'est moi.

Le docteur prit alors le Tisseur à part, et ils s'éloignèrent de quelques pas.

-Je te remercie de ce que tu as fais. C'était peu...orthodoxe mais efficace. J'aimerais savoir où tu as appris. En fait si on a mis si longtemps c'était que l'on hésitait à retirer ton travail. Nous avons fait des tests, et tout ira bien.

-Peut-on aller la voir ?

-Hum. Pas pour le moment. Elle a besoin d'un peu de repos. Mais d'ici deux heures, je pense que ça ira.

Kazuki était soulagé. Après avoir remercier le docteur, il alla se rassoire sur le banc. Il fallait tenir encore deux heures avec l'odeur de la clope de Ban. Long...

Ban grogna, la remarque de l'autre l'avait un poil ebêté aussi il se leva, écrasa sa clope sur le banc et répondit peu affable au nouveau venu.

Ecoute mon pote...mon expérience m'appris qu'il faut pas trop s'attacher a une vie...y'a rien de plus fragile...

Il se leva et marcha vers la sortie marmonnant a nouveau au Tisseur.

Je ne connais rien de cette fille mais je sais que je te reverrais avec elle...

Il ricana sardoniquement et planta les deux hommes dans le couloir. Il allait rejoindre Reira au Honky Tonk mais il avait un mauvais préssentiment, un sale doute comme il dirait, aussi il pressa le pas, monta dans la Subaru et roulait a toute vitesse vers le bar...

[ Ban Honky Tonk ]

Ban était partit. Mais il restait toujours ce mystérieux personnage. Kazuki ne se rappelait pas où il l'avait vu mais il avait la certitude de l'avoir déja rencontré. Ca y est. C'était à ce même endroit, alors qu'il observait Ban et sa nouvelle compagne, qu'il avait laissé cet homme dans le pétrin avec son escorte d'infirmières. Mais peut importe. Kazuki attendit patiemment que Shizuka se reveille. Lorsqu'enfin l'infirmière lui indiqua qu'elle s'était réveillée, il se précipita dans la chambre. Il l'aperçut alors, allongée sur le lit, parraissant à la fois forte et fragile. Et elle était entouré, pour lui, d'une sorte de douceur peu commune de la part de quelqu'un circulant dans les bas-fond de Shinjuku. Il resta comme ça une demi minute, absorbée dans l'observation de cette jeune femme qu'il commença à trouver tout à fait à son gout. Puis, sortant de sa lethargie, il alla s'assoir sur le tabouret auprès d'elle. Il resta longtemps a observer son visage. Puis lorsqu'elle se décida à ouvrir les yeux, il plongea son regard dans le sien.
-Bonjour.

Shizuka était encore dans un état comateux. Elle ouvrit difficilement les yeux, elle ne vit que du brouillard pendant un instant. Elle se sentait pas très bien, ses membres comme paralysés.

*Je ne comprend rien, qu'est ce qui m'arrive!*

Elle vit des murs blancs, et qu'elle était couchée dans un lit blanc aussi.

*Un hopital?*

Quand elle entendit du bruit: la porte de sa chambre qui s'ouvre puis une ombre se faufilée sur un tabouret près de son lit. Son état ne lui permit pas de suite de comprendre qui c'était. Mais le tintement singulier de clochettes et le visage très féminin de la personne lui refint venir la mémoire:

-Ka....zuki?

Elle rougissa,comment un si bel homme pouvait s'inquiété pour elle? Une créature si faible qui a toujours été méprisée....

-Kazuki, qu'est ce qui c'est passé? pourquoi suis je ici?

Elle commença à sengloter doucement...

Kazuki posa une main sur son front pour essayer de calmers ses sanglots. Une fois parvenu à un résultat probant, il se réinstalla mieux sur le tabouret, puis commença a lui raconté tout ce qui s'était passé.

-Eh bien, en fait, peu après ton apparition au Bar, tu es tombée soudainement dans les pommes. Nous voyions bien que ton état était grave mais on ne voyait pas trop quoi faire.
Et tout à coup, j'ai eu un peu comme une absence. C'est comme si mon corps avait agit tout seul et que je me retrouvais à l'extérieur. Je t'ai transportée sur la table puis, je t'ais ouvert pour pouvoir replacer une de tes cotes qui était brisée. Puis avec Mido Ban, nous t'avons transportée jusqu'à cet hôpital. Et voila.

En voyant les yeux de la jeune femme, Kazuki eu une réaction.

-En fait je crois que je n'aurais peut-être pas du agir. Tu risque d'avoir une cicatrice, et je t'ai fait prendre un risque qui n'était surement pas necessaire.

A la fin du récit de Kazuki, Shizuka releva la tête,abasourdie:

-Tu m'as.... sauvée alors? Je te remercie du fond du coeur! Tu as fait le nécessaire, je t'en suis vraiment reconnaissante.

Elle le regarda, son visage si doux et délicat lui donnait des frissons de bonheur, et il était si près...

-J'aimerais te remercier....

Elle le mena jusqu'à elle et enroula ses bras autour de Kazuki.

Après avoir un peu attendu Mystère regardait passer une journée typique de l'hopital ou toutes les émotions intense y étaient présentes. La joied'avoir eu un bébé la joie d'être guéri ou encore la tristesse d'avoir perdu un être cher ou d'avoir eu un accident qui chamboulera toute la vie futur. Ces émotions intense, Mystère ne les conaissait pas, il ne savait même pas si il les avaient eu ou si il les a perdus ou encore si il les avaient réduits à néant mais pourtant il savait ce qu'était ces émotions vu que les personnes qu'il avait rencontré dans sa vie en avait et il lisait plein de livre à la bibliothèque pour savoir comment en faire ou juste les définir.

Mais cette pensée s'estompa et il regardait que deux personne était en train de discuter : cette personne qui accompagnait mido et la jeune femme. Ils semblaient se connaitre et cela donnait une espèce de contexte comme avec mido et cette femme et aussi à l'hopital. Peut être est-ce là qu'on y trouvait le bonheur ? Probable en voyant les deux personnes mais Mystère avait aperçu un étrange fil et c'était aussi ce genre de fil qui l'avait fait connaitre une mésaventure dans ce lieu il y entendait la discussion à l'intérieur de la chambre ne voulu pas l'écouter donc il se demandait si ce fil pouvais aussi parler pour que le propriétaire l'entende, il essaya.

"Ecoute je vois bien que tu es occupé alors je vais te laisser j'attendrais que tu finisse je voudrais pas vous déranger donc prend ton temps je serais patient."

Il attendit tranquilement sur le banc et il ne voulait pas trop s'aventurer il s'avait que cette hopital de fou était un univers hostile pour lui et donc il fallait qu'il finisse sa mission une fois la blessé guérie.

Kazuki avait maintenant le visage tout près de celui de Shizuka et cela le troublait un peu. Puis au bout d'un moment il commença à se laisser aller à son étreinte. Le toucher de sa peau était doux, et il voulut rester encore longtemps comme ça, dans cette position. Sans bouger. Mais quelque chose le tracassait. Une telle blessure ne s'était certainement pas faite toute seule, ni même en tombant ou en se cognant. *Alors ?*
Il se relacha alors doucement de son étreinte, se rassit sur le tabouret puis dévisagea la jeune fille avec une expression qu'on ne voyait que très rrarement sur le visage du Tisseur. Une expression remplie de colère. Non pas certes a l'égard de Shizuka mais à celui de ceux qui l'avaient probablement mise dans cet état.

-Dis-moi. Peut-être n'ais-je pas fini de t'aider. J'aimerais que tu me donne les circonstances de ta blessure, enfin si cela ne te gênes pas bien sûr. J'aimerais tant t'aider. Mais je ne sais pas toujours quoi faire. Tu dois peut-être avoir une certaine image de moi mais je ne suis pas toujours comme cela. Il m'arrive de m'enerver, et dans cet état, je suis parfois capable de n'importe quoi. Mais je voudrais quand même que tu me dise qui a fait ça.

Au fur et à mesure de son discours, la colère montat dans les yeux de Kazuki, bien qu'il n'haussa pas le ton de sa voie.

Shizuka fut étonnée de voir ce changement brusque, mais elle se sentais en sécurité près de Kazuki...

-En fait, je suis allée dans les bas fond du mugenjo, je sais ce n'était pas très prudent, mais, j'ai entendu une voix crier et je suis aller voir ce qui se passait. Une jeune fille se faisait attaquée par des malfrats, je n'ai donc pas hésiter pour l'aider, mais je n'ai pas été attentive et j'ai reçu un coup de point au ventre...

L'expression de colère se maitint encore quelques instants sur son visage, puis brusquement, toute la tension accumulée disparut et son visage redevint comme il fut toujours, souriant et détendu. Après tout, il ne pourrais pas fouiller tout le Mugenjo, et puis cela ne servirais sans doute à rien. Seul Ginji avait réussi à demarrer le long chemin vers la liberté du quartier, mais désormais ce quartier était presque considéré comme perdu.
L'essentiel en fait était que shizuka se portait mieux, et que, a part une probable cicatrice, elle n'en retire pas de graves séquelles.

-Excuse moi mais en fait, je ne connait même pas ton nom.

Et Kazuki sembla la regarder désormais sous un autre angle.

-Ah, c'est vrai ^^ , je suis Shizuka, merci de m'être occupé de moi. Je crois que je ne serais pas la en ce moment.

Le visage de Kazuki était redevenu comme avant, doux et beau. Son sourire lui donnait de la chaleur dans son coeur.

*Mais pour quoi je me sens ainsi ^//^*

-Heu, je me sens un peu génée, mais, je.... j'aimerais que tu restes près de moi dès que je pourrais sortir d'ici.

Kazuki se sentait lui aussi un peu géné. Mais pas tant que ça. Il commençait à s'habituer àcette femme, et cela ne lui déplaisait pas trop. De rester avec elle après sa sortie ne le mécontentait pas non plus.

-Eh bien oui, si tu as besoin d'aide, je serais toujours là. Ne t'inquiète pas. Ne pense qu'a te reposer. Je repasserais plus tard. Il est temps que tu dormes.

-Merci, tu es la seule personne en qui j'ai vraiment confiance! Je vais faire attention, en attendant, tu peux retourner chez toi, on se retrouvera dès que je sortirais.

Kazuki sortit alors de la chambre mais il n'alla pas plus loin. Il voulait qu'elle se repose et pour cela le meilleur moyen était qu'il la laisse seule, mais il se refusait à aller plus loin. Il voulait malgré tout garder un oeil sur elle, au cas ou elle aurait besoin d'aide. Et puis rester ici ne l'obligeait pas à retourner à son appart, qui, bien qu'assez grand, n'était pas du plus grand luxe.
Il s'assit donc sur un banc, toujours le même, et après avoir tendu un fil vers al chambre de Shizuka, commença à se reposer.

Cela faisait maintenant plusieurs heures que Shizuka dormait. Elle se sentait beaucoup mieux qu'auparavant, sa blessure ne lui faisait presque plus mal. Quand elle entendit quelqu'un toquer à sa porte.

-Entrez.

Un médecin entra dans la chambre de Shizuka. Il se rapprocha d'elle et lui dit:

-Mademoiselle, vous avez bien récupérer de vos blessures, vous n'avez plus rien à craindre. Il vous est donc possible de sortir de l'hôpital dès aujourd'hui.

Elle n'en croyait pas ses oreilles. Un sourire de joie illumina son visage. Dès le médecin sorti, elle s'habilla et alla rejoindre Kazuki.

Kazuki avait fini par s'endormir sur ce banc, et il dormait si profondément qu'il n'entendit meme pas le medecin arriver et penetrer dans la chambre de Shizuka. Mais il sentit une joie immense lorsque le docteur prononça les paroles libératrices pour la femme qu'il commençait à aimer vraiment.
Après que le medecin fut parti, il attendit encore un peu, mais dès que Shizuka sortit de sa chambre, il courrut à sa rencontre, et l'enlaça dans ses bras.